Premier septembre.

Moral de rentrée.

Pour deux raisons. Petit un : C'est la rentrée.
Petit deux : Dans mon entourage proche, quelqu'un a perdu brutalement un copain que je connaissais pas plus que ça, puisque je n'ai fait que le croiser une fois. Ça me fait déjà un mal de chien, dans le bide, quand je vois la douleur pour ses proches... Et puis très égoïstement, ça me fait grave flipper. J'ai eu du mal hier à ne pas pleurer quand je prenais Mini-nous dans mes bras.

La crainte est née, désormais, dans mon esprit de les abandonner, lui et sa maman et aussi les autres...